Inauguration de l’aire de jeux
Les bassins sis sur l’avenue René Coty avaient pour principale… Lire la suite »Inauguration de l’aire de jeux
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Les 15 et 22 Octobre a lieu la seconde édition des… Lire la suite »Les Samedis pour l’énergie
L’Eurovision sur France 3, la rencontre PARIS-S.G./LILLE – Finale de… Lire la suite »Spectacle Telemania du café chantant Au Roy d’Yvetot
Région Haute Normandie: chèque énergies- coup de pouce
La chandeleur, autrefois, chandeleuse, se fête le 2 Février, soit quarante jours après Noël. Son nom vient du mot « chandelle ».
A l’origine, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du Dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. En 472 le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention de le garder allumé. Un dicton de Franche-Comté dit d’ailleurs :
Celui qui la rapporte chez lui allumée pour sûr ne mourra pas dans l’année
Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des oeufs à couver en assurent une bonne éclosion. Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.Lire la suite »Traditions La chandeleur
Définition Le Petit Robert définit ainsi « le bénévolat » situation d’une… Lire la suite »En 2011 tous bénévoles ?
C’est le moment de songer à planter de nouveaux arbres fruitiers et d’y associer des plantes mellifères indispensables pour une bonne production de fruits.
Attirés par les plantes mellifères, les insectes pollinisateurs travaillent sans relâche, assurant le transport de pollen, l’élément mâle d’une fleur, sur l’élément femelle, le pistil, et les fruits sont beaucoup plus nombreux. Si vous voulez que ces butineurs prennent leurs aises au verger, ce n’est pas juste au moment de la pollinisation qu’il faut les attirer, mais toute l’année. Créez des massifs un peu partout, pas trop près des troncs d’arbres afin que les plantes ne soient pas gênées par les racines. Installez un grand nombre d’espèces, en privilégiant les fleurs sauvages et les fleurs simples, beaucoup plus riches en pollen que les fleurs doubles. Variez les végétaux, échelonnez les floraisons, pour en avoir douze mois sur douze. Ainsi les insectes retardataires trouveront de quoi butiner à l’approche de l’hiver, et ceux qui sortent d’hibernation dès février se nourriront goulûment après de longs mois de jeûne.
Variez au maximum les teintes et les parfums : pour attirer les insectes, les fleurs ont un tas d’astuces, dont celles liées à la couleur, car chaque insecte a son coloris préféré, ou bien son parfum favori. Entourez le verger d’une haie naturelle, où se cotoient aussi bien le chèvrefeuille arbustif d’hiver, pour la mauvaise saison,que le buddleia, en plein été.Lire la suite »Plantes mellifères au verger
Chantal Jouanno se réjouit de l’accord conclu vendredi 29 octobre 2010 à Nagoya alors que s’achève la 10ème réunion de la conférence des parties à la convention sur la diversité. Un an après la conférence de Copenhague, et à quelques semaines de la conférence de Cancun sur le climat, ce succès donne un nouvel élan aux négociations internationales dans le domaine de l’environnement.
La réussite de Nagoya, c’est avant tout le succès de la lutte contre la pauvreté.
C’est un accord juste et équitable pour la répartition des avantages tirés des ressources génétiques.
Après 8 années de négociations pointilleuses, a ainsi été adopté le protocole de Nagoya qui permet :Lire la suite »2010 L’année de la biodiversité – adoption du protocole de Nagoya
La Rencontre Départementale des Bassins Versants de Seine-Maritime, organisée à l’occasion de leurs 10 années d’existence, a eu lieu Vendredi 15 Octobre 2010 dans la « Salle Cauchoise » à Grainville-La-Teinturière . Elle était co-présidée par :
Profil des syndicats de bassins versants 76– Le territoire Seino-Marin est tout particulièrement affecté par les inondations dues aux coulées de boues – 1988, 1993, 1994, 1995, 1997, 1998, 1999, 2000, 2001, 2003 pour ne citer que les principales. La fréquence des inondations est telle que le Département est arrivé à la 4ème place nationale. Quand aux coûts ils se chiffrent en dizaines de millions d’euros. Ainsi sur les 3 années 1997 à 1999 ils ont été évalués à 61 millions d’euros.
Acte de naissance– En 2000-2001 suite aux inondations récurrentes en Seine-Maritime, 19 Syndicats de Bassins Versants ont été créés. Celà a été possible grâce à la volonté commune du Préfet et des élus locaux. Cette démarche exemplaire a permis de couvrir l’ensemble du département avec des structures à l’échelle des bassins versants hydrographiques, dans une logique de solidarité entre l’amont et l’aval, avec une organisation cohérente et efficace.